Le 21 juin prochain, Journée nationale des peuples autochtones, nous célèbrerons les cultures, les traditions et la sagesse autochtones. Il s’agira aussi du solstice d’été, moment propice au renouveau et à la connexion.
Alors que nous tentons de survivre dans un monde dysfonctionnel, le solstice d’été est l’occasion de réfléchir à la possibilité de vivre mieux, de manière saine. La clé de notre bien-être réside dans la multitude de nos relations, entre nous mais aussi avec le monde naturel.
L’œuvre ci-dessous, « Chant du loup », de Harry Wylde, nous rappelle que le loup est un foyer de sagesse, de résilience et d’interrelation selon les enseignements autochtones.
« Ma'iingan », « le loup » en anishinaabe, représente des leçons de vie sur la communauté, la coopération et l’équilibre. Une meute de loups possède une structure sociale où chacun a un rôle crucial à jouer pour la survie de tous. Leur mode de vie en communauté incarne les valeurs autochtones de la réciprocité, du respect et de l’harmonie avec tous les êtres vivants.
Le loup garde et protège les terres. Il est considéré comme le gardien des écosystèmes, car il maintient l’équilibre et veille à la santé de l’environnement naturel. Il nous rappelle notre responsabilité de préserver la terre avec révérence et bienveillance. Comme la consœur Meagan Goudreault l’explique :
Marcher au sein de notre communauté, prendre soin les uns des autres et interagir ensemble sont réellement utiles à notre bien-être. Si nous honorons le loup en mettant en pratique ces apprentissages, nous améliorerons notre vie et notre communauté.
À l’occasion de la Journée nationale des Autochtones, honorons la sagesse du loup et des peuples autochtones qui préservent leur savoir depuis des générations. Que leurs leçons sur l’interdépendance, la résilience et le respect de la terre nous inspirent à tendre vers un avenir harmonieux et viable pour tous et toutes.
Solidarité,
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