À l’occasion de la fête du Canada, nous réfléchirons à nos membres autochtones et autres qui ont des raisons valables de se sentir exclus ou non respectés par les traditions de la fête du Canada. Comme ce fut le cas récemment lors du 150e anniversaire de la Confédération canadienne, les célébrations du 1er juillet envoient des messages contradictoires et compliqués. On y retrouve notamment la célébration de la prospérité et des réalisations bâties sur le génocide colonial, le racisme, l’impérialisme, le patriarcat et d’autres pratiques oppressives qui se poursuivent aujourd’hui. Nous devons faire preuve d’une plus grande solidarité avec les peuples autochtones et apprendre à être de meilleurs alliés avec tous ceux et celles qui portent la douleur, la peine et les difficultés infligées durant les chapitres les plus sombres de l’histoire du Canada.
Nous devons faire de la place pour le deuil, promouvoir la guérison, pratiquer le respect mutuel et encourager l’unité afin de bâtir une société que nous pourrons tous célébrer sans réserve.
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